21 novembre 2016 à 13h31 – Mis à jour le 21 novembre 2016 à 13h50
par KAM
Annick Kamgang, dite KAM, est une dessinatrice franco-camerounaise.
L’élimination au premier tour de la candidature de Nicolas Sarkozy aux primaires de la droite, dimanche 20 novembre, sonne comme une humiliation pour celui qui reste sur le continent comme l’homme du discours de Dakar, en 2007.
En France, selon des premiers résultats encore partiels, et à la surprise générale, François Fillon est arrivé largement en tête du premier tour des primaires de la droite et du centre qui désigneront, lors du second tour du 27 novembre, leur candidat à la prochaine élection présidentielle de 2017. Alain Juppé, pourtant favori dans les sondages, vient en second.
Ces résultats sont un échec cuisant pour Nicolas Sarkozy qui arrive seulement en troisième position. Le candidat malheureux, qui espérait marquer l’histoire en devenant le premier homme politique français à réussir son retour d’ex-chef de l’État à l’Élysée, en prend acte et esquisse désormais sa retraite. «Il est donc temps maintenant pour moi d’aborder une vie avec plus de passions privées et moins de passions publiques», a-t-il affirmé.
Par Elvira Belicourt Quarante ans après la mystérieuse disparition de Philippe de Dieuleveult sur le…
C’est depuis le jeudi 27 mars 2025 dernier que des délégations séparées des représentants du…
Il est l’un si pas le seul sportif congolais de la diaspora qui continue d’engranger…
Par David Blair commentateur en chef des affaires étrangères Le président du Rwanda est le…
Goma, Nord-Kivu, RDC. Autrefois un joyau économique vibrant au cœur de la riche province du…
L’économie rwandaise, souvent citée comme un modèle de développement en Afrique, vacille sous le poids…
View Comments
Sarko, le petit arrogant.
Ce fut un supplice de le voir débattre avec ses anciens ministres qui le contredisait et presque le rabaisser. Pour un ancien président de la République, il aurait dû prendre sa retraite après avoir été battu par François Hollande en 2012. Pour les Africains, ce fut une immense joie de le voir sortir par la petite porte de l'humiliation de perdre devant ses anciens ministres. Ni son discours de droitisation, encore moins ses prises de position rejoignant l’extrême droite ne l'auront sauvé de la noyade politique. Maintenant, il lui reste d'affronter la justice pour toutes les casseroles judiciaires qu'il traîne depuis des années et pour lesquelles il était épargné à cause de son immunité...