RDC : En voyage à New-York, Moïse Katumbi annonce la sortie prochaine d’un « livre autobiographie »

C’est via son compte Twitter officiel et depuis New-York que Moïse Katumbi Chapwe, candidat exilé de force et empêché de retourner au Congo pour y déposer sa candidature à la présidentielle du 23 décembre 2018 ; annonce la sortie prochaine de son livre autobiographie.

Intitulé « Ma vie, ma vision », le manuscrit serait dans un stade bien avancé. Même s’il n’en dévoile pas le contenu ou autres idées maitresses en dehors de ce qui en sera peut-être le titre définitif, il revient des sources proches qu’une grande partie de ce livre contiendra un récit sur son parcours personnel de la vie et en politique, également sur ce que devrait être son programme présidentiel pour une nouvelle gouvernance du pays.

 

C’est plutôt du côté de son plus proche collaborateur, Salomon Kalonda Della toujours sur Twitter qu’on y apprend un peu plus. Le Conseiller spécial et politique de Katumbi et Directeur financier de son équipe de football le TP Mazembe parle d’un livre qui viendra pour « rétablir la vérité ». Et de prévenir : « Attendez-vous à des révélations sur les affaires & la politique de #RDC de ces 25 dernières années ! On y bosse depuis les #USA avant de continuer en #Belgique ».

 

Selon Katumbi  lui-même pourtant censé avoir un problème de « passeport » pour voyager à travers le monde, ce nième voyage aux Etats-Unis se situe dans le cadre de la poursuite par lui du lobbying sur la « sensibilisation sur l’importance d’avoir de vraies élections & non un scrutin faussé comme il se prépare , mais aussi sur le respect de l’Accord #CENCO ».

Il nous revient qu’il n’est pas seul dans ce voyage en Améiques car accmpagné de certains responsables des composantes de sa plateforme politique Ensemble pour le Changement.

Par ailleurs, le président d’Ensemble pour le Changement continue de récuser « la machine à voter » et d’exiger le « nettoyage du fichier électoral » actuel en y extirpant les millions d’électeurs enregistrés sans empreintes digitales.

Roger DIKU