vendredi, novembre 22, 2024
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RDCongo : Avant, pendant et après les Elections [CE QUE JE PENSE… !]

Par Dominique Xavio Tshimanga

Contrairement aux prédictions utopiques d’une guerre, des négociations, d’un coup d’état ou de l’assassinat du Président de la République avant les élections, les analystes superficiels et plaisantins sont confus pour avoir soutenu des thèses sans aucun fondement rationnel.

J’ai personnellement entendu dire : « Tu verras, il n’y aura pas d’élections, soit Felix va mourir s’il s’entête, soit il doit accepter d’aller aux négociations ». Mais lorsque je demande par quel mécanisme cela arriverait il ?

Une seule réponse m’était lancée au visage, à savoir : « Tu verras seulement » … ! Cette façon très complaisante d’analyser la situation politique de tout un pays a renforcé mes convictions pour croire que personne n’a le monopole de la connaissance exacte de la politique du Congo Kinshasa.

Devant toutes ces déclarations fantaisistes entendues, mon attitude est restée la même en faisant voir à plusieurs de mes interlocuteurs qu’il peut arriver qu’il n’y ait pas d’élections mais je le prendrai sous un angle purement technique et non sur une pression politique ou sécuritaire quelconque. Malheureusement, les interlocuteurs étaient très têtus que Saint Thomas de la Bible.

Les menaces et intimidations de Corneille Nangaa visant à semer des troubles sociaux et la désobéissance civile et populaire n’ont accouché que d’une toute petite souris rendant leur auteur égal à lui-même. Une arrogance qui s’est éteinte comme une flamme de bougie privée d’oxygène.

Pour la toute première fois de l’histoire du grand Congo, les scrutins ont été organisés au pays et dans la diaspora, et les premières tendances des résultats connues 24 heures après. Vouloir un avenir radieux pour le Congo doit commencer par reconnaître que ce que Dénis Kadima vient de réaliser comme exploit en matière électorale mérite respect et considération d’autres nations vis à vis de notre patrimoine commun, j’ai cité le Congo Kinshasa.

Quelle autre carte la pseudo opposition devra encore jouer si ce n’est que commencer à s’organiser pour négocier des postes avec un profil bas ?

La grande difficulté pour cette opposition, s’il en existe une, sera celle-ci :

  • Cette fois-ci, Felix TSHISEKEDI n’aura pas un pouvoir issu d’une coalition. Il est allé le chercher seul et le conservera en maître absolu, contrairement au premier mandat qui avait laissé et ouvert des brèches de négociations. Le pouvoir qu’aura Félix Tshisekedi aujourd’hui sera géré en Chef suprême sans injonctions et caprices de quiconque.
  • Avec la difficulté d’empêcher la tenue des élections ni de soulever la population, l’opposition s’est fragilisée et la conséquence logique sera que plusieurs chercheront à faire cavalier solitaire pour négocier des postes et d’autres foncions étatiques sans espoir d’y parvenir.

Toute pièce de théâtre a un début et une fin. Le théâtre de la pseudo opposition ne pouvait déroger à cette éventualité. Surtout qu’il était l’œuvre des pantins instrumentalisés par des lobbying via l’homme de toutes les sales besognes, Paul Kagame, pour paraphraser le Chef de l’État ; Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

J’ai appris dans « la psychologie de la connerie politique » que seuls les imbéciles ne changent pas et que la politique est quant à elle dynamique. L’heure est arrivée pour que tous les hommes politiques complaisants abandonnent la voie du gain facile au prix des trahisons de la Nation.

Au Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi, je recommande de balayer la cour, la décaper et y passer une serpillère propre avec de l’eau propre. Les échecs qu’il a totalisés dans certains domaines n’étaient rien d’autre que le mauvais choix sur son casting. Parce qu’il n’aura pas un 3èmemandat constitutionnel, c’est maintenant ou jamais qu’il doit préparer les meilleures empreintes à léguer aux générations futures.

Concrètement, pour rendre sa philosophie de faire du Congo un État de Droit, le levier d’une véritable justice doit demeurer le socle de ce 2ème mandat de la cohésion par des réformes profondes au-delà des celles de la Défense et de la Sécurité nationales qui s’imposent aussi.

Sans cette nouvelle approche, le successeur de Felix Tshisekedi aura du pain sur la planche quant au redressement du pays qui se sera enfoncé davantage. Pour moi, la page des élections est déjà tournée et un cap doit désormais être fixé à l’après investiture de Felix Tshisekedi comme 6ème président du Congo à sa propre succession. Il est temps que plusieurs reviennent au bon sens.

J’ai personnellement entendu dire : « Tu verras, il n’y aura pas d’élections, sois Felix va mourir s’il s’entête, soit il doit accepter d’aller aux négociations ». Mais lorsque je demande par quel mécanisme cela arriverait il ? Une seule réponse m’était lancée au visage, à savoir : « Tu verras seulement » … !

Cette façon très complaisante d’analyser la situation politique de tout un pays à renforcer mes convictions pour croire que personne n’a le monopole de la connaissance exacte de la politique du Congo Kinshasa.

Devant toutes ces déclarations fantaisistes entendues, mon attitude est restée la même en faisant voir à plusieurs de mes interlocuteurs qu’il peut arriver qu’il n’y ait pas d’élections mais je le prendrai sous un angle purement technique et non sur une pression politique ou sécuritaire quelconque. Malheureusement, les interlocuteurs étaient très têtus que Saint Thomas de la Bible.

Les menaces et intimidations de Corneille Nangaa visant à semer des troubles sociaux et la désobéissance populaire n’ont accouché que d’une toute petite souris rendant leur auteur égal à lui-même. Une arrogance qui s’est éteinte comme une flamme de bougie sans oxygène.

Pour la toute première fois de l’histoire du grand Congo, les scrutins ont été organisés au pays et dans la diaspora, et les premières tendances des résultats connues 24 heures après. Vouloir un avenir radieux pour le Congo doit commencer par reconnaître que ce que Dénis Kadima vient de réaliser comme exploit en matière électorale mérite respect et considération d’autres Nations vis-à-vis de notre patrimoine commun, j’ai cité le Congo Kinshasa.

Quelle autre carte la pseudo opposition devrait elle encore jouer si ce n’est que commencer à se remettre en question et s’organiser pour négocier des postes avec un profil bas ?

La grande difficulté pour l’opposition, s’il en existe une, sera celle-ci :

  • Cette fois-ci, Felix TSHISEKEDI n’aura pas un pouvoir issu d’une coalition. Il est allé le chercher seul et le conservera en maître absolu, contrairement au premier mandat qui avait laissé et ouvert des brèches de négociations. Le pouvoir qu’a Felix TSHISEKEDI aujourd’hui sera géré en maître absolu.
  • Avec la difficulté d’empêcher la tenue des élections ni de soulever la population, l’opposition s’est fragilisée et la conséquence logique sera que plusieurs chercheront à faire cavalier solitaire pour négocier des postes et d’autres foncions étatiques.

Toute pièce de théâtre a un début et une fin. Le théâtre de la pseudo opposition ne pouvait déroger à cette éventualité. Surtout qu’il était l’œuvre des pantins instrumentalisés par des lobbying via l’homme de toutes les sales besognes, Paul Kagame, pour paraphraser le Chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

J’ai appris dans la psychologie de la connerie politique que seuls les imbéciles ne changent pas d’avis et que la politique est quant à elle dynamique. L’heure est arrivée pour que tous les hommes politiques complaisants abandonnent la voie du gain facile au prix des trahisons de la Nation.

Au Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi, je recommande de balayer la cour, la décaper et y passer une crêpière avec de l’eau propre. Les échecs qu’il a totalisés dans certains domaines n’étaient rien d’autre que le mauvais choix sur son casting. Parce qu’il n’aura pas un 3ème mandat constitutionnel, c’est maintenant ou jamais qu’il doit préparer les meilleures empruntes à léguer aux générations futures.

Concrètement, pour rendre sa philosophie de faire du Congo un État de Droit, le levier d’une véritable justice doit demeurer le socle de ce 2ème mandat de la cohésion par des réformes profondes au-delà des celles de la Défense et de la Sécurité nationales qui s’imposent aussi.  Sans cette nouvelle approche, le successeur de Felix Tshisekedi aura du pain sur la planche quant au redressement du pays qui se sera enfoncé davantage.

Pour moi, la page des élections est déjà tournée et un cap doit désormais être fixé à l’après investiture de Felix Tshisekedi, probable vainqueur comme 6ème Président du Congo à sa propre succession. Il est temps que plusieurs reviennent au bon sens. Une lecture faite en toute indépendance et liberté d’esprit.

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