Alors que conformément au calendrier électoral et que le pays s’attend à la publication du résultat provisoire de la présidentielle 2023, c’est le moment choisi comme l’on s’y attendait par les ennemis et autres traites du pays pour s’inviter dans la célébration de la démocratie.
A n’en point douter du complot international contre la RDC avec en tête des pays comme les États-Unis d’Amériques, la France et le Royaume-Uni qui se précise et se renforce chaque jour dans la guerre d’expansion et de pillage économique téléguidée au travers d’un pays voisin, en l’occurrence le Rwanda.
A ce complot, faudrait il ajouter la trahison africaine au travers des pays membres de la Communauté Est Africaine (CAE) dont les troupes militaires envoyées en RDC n’ont rien fait dans le renforcement de la sécurisation de l’Est du pays qui fut leur mission principale. A l’exception du Burundi dont les troupes militaires ont combattu de fois sur terrain ; le Kenya, l’Ouganda, le Soudan du Sud et la Tanzanie se sont illustrées dans une pactisation complice avec le Rwanda via son M23 pour renforcer l’occupation du pays un an durant.
La décision prise par la RDC pour ne pas renouveler le mandat des troupes est africaines et leur départ du pays depuis le 08 décembre 2023 fut la bonne. Ne devrait elle pas être suivie par une réflexion profonde des autorités de Kinshasa de réévaluer la nécessité d’une présence du pays au sein de cette communauté qui s’est révélé une sourcière des ennemis ?
Pendant ce temps, leurs militaires se rependant dans l’exploitation et le trafic illégaux des minerais stratégiques comme l’or et le coltant expédiés frauduleusement dans leurs pays respectifs pour être vendus aux occidentaux complices.
Nangaa, le dindon de la farce rwandaise
Depuis qu’il décidé de prendre les armes contre le pays, l’ancien président de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) n’en démord pas dans ses insultes et autres menaces en tout genre contre le Chef de l’État Félix Tshisekedi. Nangaa qui apparait dans son vrai jour en se prenant pour le futur dirigeant de la RDC ne fut qu’un loup dans la bergerie de la Céni, cette institution d’appui à la démocratie à qui personne ne peut faire confiance dans le pays.
C’est sous un encadrement serré stricte des rwandais qu’en ce dernier jour de l’année 2023 est réapparu sieur Corneille Nangaa Yobeluo entouré de Bertrand Bisimwa, prétendu chef politique du mouvement terroriste rebelle dit M23 ; mais que Nangaa supplante désormais comme nouvel affidé de la Ruanda Defense Force (RDF), l’armée rwandaise qui se livre à une guerre d’occupation mais qui prendra fin dans un délai bientôt. Une chose, sur les photos comme les vidéos de l’armée numérique du Rwanda ; Bertrand Bisimwa a soit le dos tourné, soit une main sur son visage pour se cacher alors que tout le monde le reconnait.
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Selon des sources bien renseignées dans l’Est du pays, c’est dans la lisière des environs de la ville occupée de Bunagana la frontière de Rutshuru en province du Nord-Kivu que Nangaa s’est installé après son aventure du Kenya d’où il annonçait son mouvement rebelle dit Alliance du Fleuve Congo (AFC). Depuis qu’il a promis la publication du prétendu « deal » avec Kabila, Nangaa a été pris dans son propre mensonge. En cet endroit du pays, il est sous la surveillance directe du rwandais Paul Kagame qui le finance. Du reste, c’est avec les mêmes individus que Nangaa réapparait dans son aventure militaire rebelle au pays.
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Certes la guerre contre le Rwanda sera longue et populaire dixit feu le président Mzé Laurent Désiré Kabila Ka Makolo, une chose demeure certaine ; la RDC ne cédera aucun centimètre carré de son territoire. NE JAMAIS TRAHIR LE CONGO avait-il averti avant son tragique assassinat.
Roger DIKU et Thaddée Luaba Wa Ba Mabungi
